Campagne sur la réforme de la maturité 2023 - la voix des enseignant·e·s est primordiale !

Le projet «Évolution de la maturité gymnasiale» aura des conséquences importantes pour les enseignant·e·s et les (futur·e·s) élèves des écoles de maturité. Mais aussi sur l'ensemble du cursus scolaire (variante 11+4 vs 10+4). Le SSP suit de près ce processus, tant au niveau national que dans les régions au niveau cantonal.

Le RéGym (réseau gymnases VD) ainsi qu'un groupe romand réunissant des membres du SSP actives et actifs dans leur établissement se réunissent désormais régulièrement pour discuter, débattre des enjeux de cette réforme et relayer les préoccupations des collègues. Vous êtes membre du SSP ou souhaitez le devenir et enseignez dans un gymnase ? Vous souhaitez participer activement à cette campagne ? N'hésitez pas à nous contacter.

Plan d'études cadre (PEC) - consultation

Le SSP Vaud a répondu à la consultation sur le PEC.

Lire, télécharger, diffuser, afficher le document (cliquer sur le lien)

Courrier au Chef du DEF - 4 ans de gymnase après 11 ans d'école obligatoire / retrait de la directive interdisant les débats électoraux

Réponse au courrier ci-dessus par le Chef du DEF (18.01.2024)

Autres interventions au sujet de l'interdiction des débats (cliquer sur le lien)

Plan d'études cadre et gymnase en 4 ans : courrier au Chef du DEF

Le SSP adresse, dans un courrier au Chef du DEF daté du 18 août, deux demandes:

- Que les Conférences des maître·sses des gymnases vaudois soient consultées sur le nouveau plan d'études cadres qui entrera en vigueur en 2024. Les modalitées exigées sont aussi précisées.

- Que les Conférences des maître·sses de tous les établissements (quel que soit le degré d'enseignement) soient consultées sur le modèle choisi comme "base de travail" par le DEF, à savoir 10+4 / 11+4.

Notre courrier est ici. À lire, télécharger, diffuser, affficher.

Pour un droit à la formation, nous soutenons la variante 11+4

Notre campagne pour la variante 11+4 (cliquez ici)

Révision de la maturité : des enjeux majeurs, une réflexion indispensable

@https://inspe.u-pec.fr/l-inspe/actualites/printemps-de-la-recherche-en-education-2021

Le projet «Évolution de la maturité gymnasiale» aura des conséquences importantes pour les enseignant·e·s et les (futur·e·s) élèves des écoles de maturité. À ce stade, le SSP n’a pas encore fait d’analyse détaillée des documents mis en consultation, mais il souhaite d’ores et déjà mettre en évidence plusieurs aspects centraux de la réforme en cours.

Ne manquons pas l’occasion de réfléchir ensemble à la formation que nous voulons pour nos élèves. Notre voix de professionnnel·le·s de l’enseignement doit compter !

Lire la suite de notre tract ici (cliquez sur le lien)

Page nationale du SSP sur la campagne maturité 2023


Suivez la campagne du SSP au niveau national ici: http://ssp-vpod.ch/matu2023

Un groupe de réflexion rassemblant des membres du SSP de plusieurs cantons se réunit régulièrement.

Lettre à la Conférence des directrices et directeurs de gymnases vaudois (CDGV)

Suite à la réponse - très insatisfaisante- de la Cheffe du DFJC à notre interpallation concernant la procédure de consultation et ses modalités, le SSP s'est adressé à la CDGV, chargée de mettre en place ladite consultation par le DFJC. Dans ce courrier, nous demandons à la CDGV:

- De constituer sans délai un calendrier des consultations prévues (RRM/ORM et PEC

conjointement)

- Que les files et les conférences des maître·sse·s soient consultées sur l’ensemble des objets;

comme il est désormais trop tard pour organiser une consultation (session d’examens en

cours), il conviendra d’organiser cette consultation très rapidement à la rentrée 2021

- De communiquer, sans délai, l’existence de cette consultation en cours, le calendrier ainsi que

les modalités choisis à toutes et tous les enseignant·e·s

- De permettre une consultation sérieuse en libérant du temps d’enseignement pour les

enseignant·e·s qui pourront ainsi réellement discuter et réfléchir aux enjeux, à savoir : au

minimum une journée d’ici la mi-septembre incluant une plénière sur ORM/RRM et une demijournée

sur le PEC par file

- Du temps supplémentaire doit être prévu pour les chef·fe·s de file

Lire notre courrier du 3 juin 2021 à la CDGV ici (cliquer sur le lien)

Lettre au DFJC - Réforme de la maturité: À quand la première consultation ?

Avoir voix au chapitre (et pas seulement pour la forme)

Lisez la lettre du SSP-Enseignement adressée à la Cheffe du DFJC (cliquez sur le lien) au sujet de la consultation et de ses modalités.

Alors même que la consulation a déjà commencé (15 avril), aucune information n'est encore parvenue aux collègues concernant cette réforme majeure.

Nous demandons au DFJC:

  • de tout mettre en œuvre - et ceci sans délai - pour favoriser la participation de toutes et tous les enseignant·e·s concerné·e·s par cette réforme, d'encourager la discussion et la réflexion (au sein des files et lors des conférences des maître·sse·s)
  • qu'il communique très rapidement un calendrier précis de toutes les phases de consultation cantonales ainsi que les modalités prévues
  • qu’une véritable consultation soit rendue possible

Réponse du DFJC (totalement insuffisante - développement suit)

  • Pour 4 ans de gymnase après 11 ans d'école obligatoire !

    Dans le cadre de la réforme de la maturité gymnasiale, la durée minimale de celle-ci devra être de quatre ans dans tous les cantons suisses, principe que le SSP-Enseignement soutient. Ceci implique de profondes modifications pour l'ensemble de la scolarité.

  • Réponse à la consultation RRM/ORM (projet 2)

    Le SSP a répondu à la consultation sur la révision de l’ordonnance fédérale de l’école de maturité (ORM/RRM). Par rapport à la version proposée en 2021, nous saluons le maintien de l’article 8 qui rappelle l’objectif de « dispenser une formation générale équilibrée et cohérente, en évitant la spécialisation ou l’anticipation de connaissances ou d’aptitudes professionnelles ». Cette spécificité gymnasiale était menacée par une proposition de tronc commun de deux ans suivis par deux ans de spécialisation. Même si cette version est abandonnée, le risque d’un émiettement des savoirs demeure cependant.